Une douleur au genou ? Envie de comprendre pourquoi ? Voici des explications sur les points clefs du genou, des détails sur ses différentes pathologies et le rôle de l’ostéopathie dans son bien être.
Le Genou
Le genou, ça sert à quoi ?
Un peu à l’image de la cheville (plus d’infos), le genou doit résoudre un paradoxe. Son rôle principal est d’amortir le poids du corps tout en garantissant une marche stable en fléchissant ou en tendant le genou. Il lui faut donc être solide et mobile.
Alors, comment fait-il ?
Le genou est articulé par trois os, le tibia, le fémur et la rotule. La manière dont le tibia et le fémur s’emboitent (comme deux roues dans des rails) permet au fémur de rouler et glisser sur le tibia. Il peut alors faire ses mouvements de flexion/extension tranquille. Par contre, ceci impose à la structure énormément de pression et ouvre un problème de stabilité…
C’est quoi la clef de ce problème ?
La première solution pour stabiliser l’articulation est la rotule. En effet une gouttière dans le fémur permet à la rotule de glisser et de suivre le mouvement du genou à la flexion. Grâce à ça et au quadriceps qui s’insère dessus, la rotule garantit une bonne stabilité à l’avant du genou.
Ensuite, il faut stabiliser l’articulation sur les côtés. Pour ça, rien de plus simple, on utilise des ligaments de chaque côté du genou, doublés par les muscles qui encerclent et sécurisent le tout.
Néanmoins, tout ça ne suffit pas, il faut encore une aide pour stabiliser le genou, les ligaments croisés. En effet, ces deux ligaments en X au centre de l’articulation du genou assurent une véritable solidité à la structure. C’est pourquoi ce sont souvent eux qui sont blessés en cas de traumatisme du genou.
Bon, là, on peut bouger sans risque. Mais tu as parlé d’amortissement tout à l’heure.
C’est bien, tu suis jeune padawan.
La réponse à l’amortissement réside dans les ménisques. Au nombre de deux, ce sont deux morceaux de cartilage qui séparent le fémur du tibia et jouent le rôle de coussin entre les deux os. Et de part leur rôle, ce sont eux qui s’usent le plus vite…
A quoi ça me sert de savoir tout ça ?
Tout ceci est une introduction. Vous avez maintenant le bagage nécessaire pour comprendre les pathologies du genou. Nous allons donc voir les plus courantes une par une et je mettrai l’article régulièrement à jour. A chaque fois, nous verrons de quoi il s’agit avec divers conseils pour bien récupérer.
Douleur méniscale
Syndrome rotulien
Tendinites du genou
Syndrome de l’essuie-glace
Arthrose du genou
Entorse du genou
Je laisse également un genou ici. Si vous y avez une douleur, vous pouvez cliquer sur votre zone douloureuse et cela vous conduira vers l’article qui expliquera le plus probablement votre douleur (aucun lien ne fonctionne pour le moment, les articles détaillés suivront).
Le rôle de l’ostéopathie pour le genou ?
La stabilité et la bonne sécurité du genou est garantie par les muscles et les ligaments. Des structures qui peuvent se tendre, se fatiguer et imposer à l’articulation un risque de blessure et de douleur. De même pour une mauvaise répartition du poids du corps qui augmente la pression sur le genou.
L’ostéopathe assure alors une bonne détente de toutes ces structures et garantit une bonne posture pour diminuer au maximum les tensions autour de l’articulation et ainsi, limiter le risque de blessure ou de douleur.
Le Genou
Le genou, ça sert à quoi ?
Un peu à l’image de la cheville (plus d’infos), le genou doit résoudre un paradoxe. Son rôle principal est d’amortir le poids du corps tout en garantissant une marche stable en fléchissant ou en tendant le genou. Il lui faut donc être solide et mobile.
Alors, comment fait-il ?
Le genou est articulé par trois os, le tibia, le fémur et la rotule. La manière dont le tibia et le fémur s’emboitent (comme deux roues dans des rails) permet au fémur de rouler et glisser sur le tibia. Il peut alors faire ses mouvements de flexion/extension tranquille. Par contre, ceci impose à la structure énormément de pression et ouvre un problème de stabilité…
C’est quoi la clef de ce problème ?
La première solution pour stabiliser l’articulation est la rotule. En effet une gouttière dans le fémur permet à la rotule de glisser et de suivre le mouvement du genou à la flexion. Grâce à ça et au quadriceps qui s’insère dessus, la rotule garantit une bonne stabilité à l’avant du genou.
Ensuite, il faut stabiliser l’articulation sur les côtés. Pour ça, rien de plus simple, on utilise des ligaments de chaque côté du genou, doublés par les muscles qui encerclent et sécurisent le tout.
Néanmoins, tout ça ne suffit pas, il faut encore une aide pour stabiliser le genou, les ligaments croisés. En effet, ces deux ligaments en X au centre de l’articulation du genou assurent une véritable solidité à la structure. C’est pourquoi ce sont souvent eux qui sont blessés en cas de traumatisme du genou.
Bon, là, on peut bouger sans risque. Mais tu as parlé d’amortissement tout à l’heure.
C’est bien, tu suis jeune padawan.
La réponse à l’amortissement réside dans les ménisques. Au nombre de deux, ce sont deux morceaux de cartilage qui séparent le fémur du tibia et jouent le rôle de coussin entre les deux os. Et de part leur rôle, ce sont eux qui s’usent le plus vite…
A quoi ça me sert de savoir tout ça ?
Tout ceci est une introduction. Vous avez maintenant le bagage nécessaire pour comprendre les pathologies du genou. Nous allons donc voir les plus courantes une par une et je mettrai l’article régulièrement à jour. A chaque fois, nous verrons de quoi il s’agit avec divers conseils pour bien récupérer.
Douleur méniscale
Syndrome rotulien
Tendinites du genou
Syndrome de l’essuie-glace
Arthrose du genou
Entorse du genou
Je laisse également un genou ici. Si vous y avez une douleur, vous pouvez cliquer sur votre zone douloureuse et cela vous conduira vers l’article qui expliquera le plus probablement votre douleur (aucun lien ne fonctionne pour le moment, les articles détaillés suivront).
Le rôle de l’ostéopathie pour le genou ?
La stabilité et la bonne sécurité du genou est garantie par les muscles et les ligaments. Des structures qui peuvent se tendre, se fatiguer et imposer à l’articulation un risque de blessure et de douleur. De même pour une mauvaise répartition du poids du corps qui augmente la pression sur le genou.
L’ostéopathe assure alors une bonne détente de toutes ces structures et garantit une bonne posture pour diminuer au maximum les tensions autour de l’articulation et ainsi, limiter le risque de blessure ou de douleur.